lundi 16 avril 2018

Manger des produits frais non transformés

Le magazine 60 Millions de consommateurs de l'Institut national français de la consommation (dépendant du ministère de la Consommation) dénonce les dérives d’une alimentation ultratransformée.
Pauvres en matières premières brutes (légumes, fruits, lait, viande…) mais riches en additifs, les aliments « ultratransformés » regorgent d’ingrédients à bas coût, dénaturés pour leurrer notre goût.
Quelques exemples
-  poudres chocolatées  : bombes de sucre. Nesquik en contient 76 %, Super Poulain 86 %. »
-  nouilles instantanées saveur légumes et sauce soja  : 0,4 % de légumes déshydratés, 12 additifs 
- yaourts aux fruits  : 12 additifs dans des yaourts sur “lit de fruits”.


Ces aliments qui nous empoisonnent (2018) Hors-série - N° 125S - mai 2018
https://www.60millions-mag.com/kiosque/ces-aliments-qui-nous-empoisonnent-2018

D'autre part Gretchen Mahler de l'Université Binghamton et ses collègues ont étudié des échantillons de maïs, thon, asperges et poulet en conserve en utilisant la spectrométrie de masse pour estimer combien de particules étaient transférées dans les aliments.Les aliments en contenaient 100 fois plus que l'apport quotidien recommandé en zinc.
" Ces nanoparticules provoque une perte de surface remodelage ou une perte des microvillosités.Cela tend à entraîner une diminution de l'absorption des nutriments. Certaines des nanoparticules à doses provoquent également une signalisation pro-inflammatoire, ce qui peut augmenter la perméabilité du modèle intestinal."
voir aussi  Inra les premiers résultats de l’exposition orale aux nanoparticules de dioxyde de titane (additif alimentaire E171) http://presse.inra.fr/Communiques-de-presse/Additif-alimentaire-E171

voir aussi

Comment se désintoxiquer des aliments ultra transformés
https://www.lanutrition.fr/comment-se-desintoxiquer-des-aliments-ultra-transformes