mercredi 10 septembre 2014

Certains somnifères augmentent le risque d'Alzheimer

L'utilisation à long terme de certains somnifères ou médicaments contre l'anxiété de la famille des benzodiazépines (des molécules avec des propriétés anxiolytiques, hypnotiques, myorelaxantes et anticonvulsivantes qui agissent sur le système nerveux central) pourrait augmenter sensiblement le risque de développer la maladie d'Alzheimer, selon une étude franco-canadienne publiée mercredi 10 septembre sur le site du British Medical Journal.
La sophrologie, grâce à des techniques de relaxation, peut vous aider dans les troubles légers du sommeil.
Les troubles transitoires, qui s'installent sur quelques jours (difficultés à s'endormir ou réveils nocturnes sans "rendormissement"), sont nettement améliorés par l'utilisation d'exercices de décontraction physique, recentrage et canalisation des pensées. Ces troubles passagers sont souvent liés à une période de surcharge, un stress, et les perturbations du sommeil s'améliorent aussi lorsque l'on parvient à mieux gérer la situation.

La sophrologie rencontre de bons résultats auprès des enfants et des adolescents. Ces derniers sont plutôt familiers des difficultés d'endormissement, et ils peuvent apprendre à retrouver le chemin du sommeil -et par eux-mêmes- en quelques séances, pour peu qu'ils utilisent les techniques qu'on leur enseigne.
Les troubles chroniques et insomnies au long cours donnent des résultats variables, extrêmement différents d'une personne à l'autre.

Une étude signalée par l'observatoire national de la sophrologie, et publiée en 2000 par des médecins de l'Institut du Sommeil de l'Hôtel-Dieu (Paris) a permis d'évaluer 50 patients traités pour insomnies chroniques. Après qu'ils aient suivi un programme court (5 séances) d'initiation à la sophrologie, l'étude met en évidence une amélioration de leurs perceptions subjectives autour du sommeil (qualité du sommeil, dynamisme dans la journée...) ainsi qu'une diminution des facteurs qui pouvaient y être associés, tels que l'anxiété ou la dépression.