Une étude, publiée dans la revue Translational Psychiatry, a comparé l'impact biologique et psychologique de vacances et de la méditation.
Eric Schadt et Elissa S. Epel ont, avec leurs collègues de l'Icahn School of Medicine et des universités de Californie à San Francisco et Harvard, ont comparé l'impact biologique et psychologique de vacances et de la méditation.
Cette étude a été mené avec 64 femmes, âgées de 30 à 60 ans, non méditantes qui ont été assignées au hasard à prendre de simples vacances où à participer à un programme, d'initiation à la méditation et au yoga. Un groupe de 30 personnes expérimentées en méditation ont aussi participé à l'étude.
En résumé, les résultats montrent à
la fois un «effet de vacances» significatif qui a bénéficié tous les
groupes, et une suppression des réponses liées au stress et une meilleure réponse
immunitaire.
Les chercheurs ont également identifié un «effet de
méditation» au sein du groupe de méditant expérimenté, favorisant un vieillissement en santé. Cette étude
fournit une forte distinction entre les effets bénéfiques de la
relaxation de courte durée typique de vacances par rapport à la
méditation intensive aiguë pour les méditants réguliers.
Meditation and vacation effects have an impact on disease-associated molecular phenotypes
Translational Psychiatry (2016) 6, e880; doi:10.1038/tp.2016.164
Published online 30 August 2016